L'été peu à peu s'efface,
Les journées raccourcissent,
Déjà l'ouverture de la chasse!,
Les premiers arbres jaunissent.
La ville a retrouvé son animation,
Bruits et fureur des foules,
Fourmilière humaine en action,
Bourdonnements qui saoulent.
Dans la campagne environnante,
La poussière des chemins est retombée.
Les pluies revenues, abondantes,
Reverdissent les champs desséchés.
Rosiers et vivaces refleurissent,
Dans les vergers, palette de couleurs,
Les branches se courbent,
Les lourds fruits attendent les cueilleurs.
La forêt est en effervescence.
Dans la sombre futaie,
Les cerfs brament d'importance,
Le combat éternel renaît.
Sur les tapis de mousse,
Sous les chênes et les pins,
Cèpes et trompettes poussent.
La quête solitaire recommence enfin.
Le vent de l'est et du nord,
Amènent les oiseaux migrateurs.
Innombrables battements d'ailes et clameur,
Vers un climat meilleur.
La forêt explose de mille feux.
Elle a revêtu sa parure d'automne,
S'est faite belle pour un adieu,
Au soleil qui encore rayonne.
La température a baissé,
Le vent griffe la nature.
Les arbres violements secoués,
Grincent de toutes leurs ramures.
Dans la ville illuminée,
La course folle se poursuit.
La fourmilière emmitouflée,
Attend l'hiver et la nuit .
Les journées raccourcissent,
Déjà l'ouverture de la chasse!,
Les premiers arbres jaunissent.
La ville a retrouvé son animation,
Bruits et fureur des foules,
Fourmilière humaine en action,
Bourdonnements qui saoulent.
Dans la campagne environnante,
La poussière des chemins est retombée.
Les pluies revenues, abondantes,
Reverdissent les champs desséchés.
Rosiers et vivaces refleurissent,
Dans les vergers, palette de couleurs,
Les branches se courbent,
Les lourds fruits attendent les cueilleurs.
La forêt est en effervescence.
Dans la sombre futaie,
Les cerfs brament d'importance,
Le combat éternel renaît.
Sur les tapis de mousse,
Sous les chênes et les pins,
Cèpes et trompettes poussent.
La quête solitaire recommence enfin.
Le vent de l'est et du nord,
Amènent les oiseaux migrateurs.
Innombrables battements d'ailes et clameur,
Vers un climat meilleur.
La forêt explose de mille feux.
Elle a revêtu sa parure d'automne,
S'est faite belle pour un adieu,
Au soleil qui encore rayonne.
La température a baissé,
Le vent griffe la nature.
Les arbres violements secoués,
Grincent de toutes leurs ramures.
Dans la ville illuminée,
La course folle se poursuit.
La fourmilière emmitouflée,
Attend l'hiver et la nuit .
